"Le dessin fut mon premier acte libérateur, j'avais 10 ans et mon trait était un chemin vers l'inconnu...
Ce sentiment ne m'a jamais quitté.
Mon crayon reste à jamais l'épée de mon imaginaire, j'éprouve un plaisir infini à dessiner, un étrange mélange de danger en approchant un monde invisible nommé Création.
Je remplis mes dessins de couleurs et ils prennent vie."
JC de Castelbajac.
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